Anthony Branstett : « Qui suis-je ? »

Comme tous les stagiaires chez Eurojournalist(e), notre « dernier arrivé » Anthony Branstett se présente aux lecteurs et lectrices.

Anthony Branstett, actuellement en stage chez Eurojournalist(e). Foto: Alexandre Binder

(Anthony Branstett) – Ce qui me définit le mieux, est ma passion pour les jeux vidéo, plus particulièrement Tom Clancy’s Rainbow Six Siege, pour ne rien vous cacher. Très compétiteur, que ce soit dans la vie de tous les jours ou dans ma pratique des jeux vidéo, je donne énormément de ma personne pour constamment évoluer et devenir meilleur. Avant d’être un gros consommateur de jeux vidéo, j’ai pratiqué plusieurs sports en extra-scolaire. J’ai commencé par du tennis où je prenais des cours dans le village voisin pendant plusieurs années à l’école primaire. Par la suite, comme beaucoup de jeunes, je me suis lancé dans le football, ce sport extrêmement populaire auprès des jeunes, qui m’a permis de voyager à Prague pour participer à une compétition sur 1 semaine, une belle expérience. J’y ai aussi consacré plusieurs années de ma jeunesse, eh oui, je suis vieux maintenant du haut de mes 19 ans.

Concernant ma scolarité, l’école n’était pas l’une de mes passions préférées, je faisais le nécessaire principalement. Le collège n’était pas très compliqué pour moi, je réussissais correctement dans toutes les matières, mis à part deux matières où j’étais mauvais : les arts plastiques et la musique, ma meilleure œuvre étant un bonhomme en bâton, une prouesse technique. La différenciation de sons et d’instruments étaient aussi difficiles, et je n’étais pas spécialement aidé avec de légers soucis d’audition qui m’ont souvent pénalisé lors de compréhensions d’oral. Je m’en suis tout de même bien sorti à ces moments. Ces difficultés m’ont poussé à m’améliorer : j’ai pris des cours de synthétiseur pendant plusieurs années quand j’étais au collège et au lycée. Sans surprise et sans difficulté, j’obtiens mon brevet à la fin de ma troisième.

Lycée et Covid, un duo que j’aurais ne pas aimé voir en action. C’est là que mon manque de travail me fait plus défaut. La seconde se passe plutôt bien, pas d’épreuves en ligne de mire. En revanche, la première et la terminale étaient plus difficiles. L’arrivée du Covid ne m’a pas facilité les choses. Qui dit Covid, dit télétravail, et cela fut une mauvaise expérience pour moi. Travailler efficacement, ou même travailler était difficile. De plus, une réforme majeure : le contrôle continu et des épreuves importantes tout au long de l’année, une bonne nouvelle pour moi pour me soulager du stress. Finalement, après ces trois années riches en évènements, j’obtiens mon diplôme du baccalauréat, une libération.

Maintenant, je suis en première année d’études supérieures à XP School, une école spécialisée dans la communication et le marketing du gaming et de l’esport sur le campus de l’ISEG Strasbourg. En effet, je ne me voyais pas aller dans un cursus classique, il me fallait quelque chose de différent, et allier passion et travail. Je suis maintenant en stage depuis 3 semaines chez Eurojournalist(e) où j’ai l’occasion d’écrire des articles sur ma passion, tout en découvrant et approfondissant divers sujets. Mon stage se déroulant pendant 2 mois, de nombreux articles sont encore à prévoir.

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