Merci beaucoup, Esther !

Les connaissances d'Esther Heboyan du cinéma sont bluffantes... ce qui explique pourquoi Eurojournalist(e) est tous les ans accrédité à Cannes. Foto: privée

(KL) – Quand on voit les images glamour du tapis rouge de Cannes, on se dit que ceux qui y travaillent, ont la vie belle. Mais c’est une erreur. Les journées à Cannes sont extrêmement intenses pour les professionnels, qu’il s’agit de photographes, rédacteurs ou encore les professionnels du 7e art.

Lors de sa couverture de « Cannes », les journées commencent tôt pour Esther, très tôt même. Car les journalistes doivent se présenter dès 7h du matin au service presse du Festival pour espérer obtenir une accréditation pour les films « intéressants », donc, principalement les films de compétition. Le nombre de places étant limité, souvent, les journalistes repartent bredouille.

Ensuite, il faut être rapide, savoir bouger rapidement entre les différents lieux du festival, essayer de manger quelque chose entre deux rendez-vous, et courir, courir, courir.

Le soir, il y a encore des projections, pour lesquelles il est souvent plus facile d’obtenir une accréditation. Donc, visionnage d’autres films, ensuite rédaction de l’article pour Eurojournalist(e) et le lendemain matin, le parcours du combattant reprend.

Un mega-merci, Esther, pour ce travail intense et ta science cinématographique qui elle, n’est sans doute pas étrangère au fait qu’Eurojournalist(e) soit accrédité tous les ans à ce rendez-vous le plus important du cinéma. Eurojournalist(e) étant un média purement bénévole, Esther assume seule tous les frais associés à cette couverture et cela mérite d’être souligné. Donc, merci beaucoup, chère Esther, et nous sommes fiers de compter une experte de ton niveau parmi nos contributeurs ! Merci et vivement la 79e édition du Festival de Cannes 2026 !

Et voici le palmarès de la 78e édition du Festival de Cannes :

Palme d’or pour « Un simple accident » de Jafar Panah
Prix du Jury pour « Sound of Falling » de Mascha Schilinski et « Sirat » d’Olivier Laxe
Grand Prix pour « Valeur sentimentale » de Joachim Trier
Meilleur premier rôle masculin pour Wagner Moura dans « L’Agent secret »
Meilleur premier rôle féminin pour Nadia Melliti dans « La petite dernière »