Mise à jour défectueuse depuis Bercy !
Bruno Le Maire en partance pour L’École Polytechnique de Lausanne - la Suisse est foutue !

(Jean-Marc Claus) – Mi-juillet, quelques jours avant qu’une panne géante de Microsoft, générée par une mise à jour défectueuse de Crowdstrike, paralyse nombre de systèmes informatiques d’une grande partie du monde, nous apprenions via Le Canard Enchaîné que le très macron-compatible ministre Bruno Le Maire, envisagerait de travailler pour la très prestigieuse École Polytechnique de Lausanne. Si cela devrait s’avérer exact, que ce piètre économiste et écrivaillon de sanisettes, en vienne à enseigner la future élite helvète, le pays s’engagerait alors assurément sur le chemin du déclin, en introduisant dans son système un logiciel particulièrement défectueux.
« Emmanuel Macron, c’est l’homme sans projet, parce que c’est l’homme sans convictions. Il dit tout et son contraire, selon ses auditeurs. », avait affirmé en février 2017 celui qui, abandonnant alors le navire Les Républicains, prenant dangereusement l’eau pour cause des frasques fillonesques, a décroché le 17 mai de la même année, le poste de Ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté Industrielle et Numérique. Rien que ça, et juste trois jours après l’élection d’Emmanuel Macron ! Poste qu’il n’a pas lâché depuis, alors que se sont succédé à l’Hôtel Matignon Édouard Philippe (2017-2020), Jean Castex (2020-2022), Élisabeth Borne (2022-2024) et Gabriel Attal (2024-202?).
Mais il est vrai que, du côté de la devenue minoritaire « majorité présidentielle », ne représentant plus guère que 15% des électeurs, ça sent tout de même bien le sapin. Toute allusion à un précédent Ministre de l’Économie et des Finances, serait alors purement fortuite ! Bruno Le Maire, né une dizaine de jours avant le Référendum Constitutionnel de 1969, au sein d’une famille nombreuse de la bonne ville de Neuilly-sur-Seine, a très vite appris à se fabriquer un profil de politicien, avec pour pompon de sa formation, la sortie de la défunte École Nationale de l’Administration (ENA) en 1998, où il fut le 20ème de la Promotion Valmy, qui n’avait du reste rien de révolutionnaire.
« Mes plus grands combats politiques sont devant moi. », affirmait-il dans Le Point au mois de juin. Peut-être envisage-t-il de devenir citoyen suisse et de poursuivre sa carrière dans ce pays, où l’obtention de la nationalité est soumise à une procédure draconienne, dans laquelle figure une enquête de moralité assez fouillée. Or, que dire de la moralité d’un individu sans grande consistance et surtout sans parole, qui, après avoir blâmé un candidat à une élection présidentielle, s’empressa de se mettre à son service si tôt ce dernier élu, et fit preuve d’une grande servilité durant sept longues années ?
Ne parlons pas de son soi-disant roman, écrit à ses heures perdues (pour la France), qui le ramène au même niveau de créativité de caniveau que la très fantasque et aujourd’hui invisible Marlène Schiappa ! Ou plutôt si, parlons-en, car au regard de certains de ses centres d’intérêt, Bruno Le Maire fait de facto partie de la très grivoise Team Griveaux, comptant la susnommée Marlène Schiappa, ainsi que l’également devenue invisible Sibeth Ndiaye, Cédric O dont on penserait qu’il a peut-être à voir avec l’histoire du même nom, et le devenu chroniqueur des Grandes Gueules Jean-Baptiste Djebbari.
On aurait attendu de Bruno Le Maire, après son septennat à Bercy, un ouvrage d’analyse politico-économique, mais il s’est fendu d’un roman dont certains aspects peuvent être qualifiés d’érotico-grivois, qu’il a intitulé « Fugue Américaine ». Un titre et un contenu, qui ne le hissent pas au niveau de « L’étudiant étranger » et de sa suite « Un été dans l’Ouest » , témoignage d’un séjour étasunien dans les années cinquante, rapporté par le talentueux journaliste Philippe Labro. La Suisse est foutue, si dans les mises à jour des logiciels de ses grandes écoles, elle laisse s’introduire des Chevaux de Troie tels qu’un Bruno Le Maire, que la dilatation exponentielle… des chevilles, obligera bientôt à porter des sabots. Ce qui devrait logiquement permettre, de l’entendre arriver de loin !
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