Vous aussi, vous pourrez faire plus pour Eurojournalist(e)…

Nul n'est prophète dans son propre pays, dit-on. C'est vrai. Pendant que les papiers publiés sur Eurojournalist(e) et repris sur d'autres plat-formes connaissent un succès spectaculaire, c'est le calme chez nous.

Beaucoup de gens pensent que c'est tout ce qui faut pour produire un média comme le notre. Ils se trompent... Foto: Peter Eder / Wikimedia Commons / PD

(KL) – Il y a des moments où l’on constate l’importance d’une presse libre et indépendante. Et ce sont ces moments-là où nous nous interrogeons tous sur des sujets comme la liberté de la presse, la liberté de la pensée et notre projet d’un média transfrontalier. C’est étonnant – nos papiers qui sont régulièrement repris sur d’autres plate-formes de médias indépendants, comptent parmi les articles les plus lus au niveau national. Seulement dans notre propre région, ces mêmes articles laissent nos lecteurs indifférents. Vous et nous, on pourra changer cela. Ensemble.

Les exemples sont nombreux – ainsi, lorsque les deux articles «Ah oui, les retraites ne sont plus assurées…» et «Lettre ouverte aux électeurs et électrices français» se trouvaient respectivement à la première et deuxième place du classement des articles les plus lus et commentés chez nos confrères parisiens de «Mediapart», suscitant de centaines de réactions, les mêmes articles faisaient une poignée de «likes» chez Eurojournalist(e). Etrange. Autre exemple : L’article sur les contre-manifestations contre la «Pegida» du début de la semaine, a été publié en parallèle chez «Mediapart» et repris par le site français «Leblogdesautres.com». Pendant que ce billet n’a suscité aucune réaction sur Eurojournalist(e), il a obtenu plus de 10.000 «likes» chez «Leblogdesautres.com» et a déclenché de vives discussions chez «Mediapart».

Pour que cela change, pour que notre, votre canard bilingue puisse mieux décoller, nous avons besoin de votre aide. Il serait important que vous fassiez comme les Parisiens, qui eux, partagent nos articles par les réseaux sociaux, ils se les envoient par Facebook, Twitter et le lien par émail et nous nous disons qu’il devrait être possible de faire pareil dans notre région du Rhin Supérieur.

Bien sûr, notre objectif n’est pas de concurrencer des médias nationaux d’une importance telle que «Mediapart» – nous sommes heureux d’avoir pu conquérir un lectorat national en France qui, selon de nombreuses réactions, apprécie notre information transfrontalière. Chez nous, il semblerait à ce que l’existence d’un média comme «Eurojournalist(e)» soit considérée comme une évidence. Il est vrai, depuis six ans, nous sommes là, sans demander rien à personne, mais l’édition d’un média quotidien et bilingue n’est pas aussi évidente que l’on pourrait le penser.

En 2015, nous faisons donc appel à vous, nos lecteurs et lectrices. Aidez-nous à faire en sorte à ce que Eurojournalist(e) ne soit pas seulement lu partout en France et en Allemagne, mais avant tout dans notre région qui est le Rhin Supérieur. Nous ne voulons pas donner dans la facilité, c’est à dire publier nos articles sur d’autres plate-formes nationales, mais nous estimons toujours qu’il est important que le Rhin Supérieur dispose d’un média indépendant et bilingue. Si vous partagez ce point de vue, alors, faites comme les Parisiens – partagez nos articles, mettez-nous dans vos favoris, commentez les billets et devenez acteurs actifs de ce média participatif ! Cela constituerait pour nous, la plus belle motivation pour développer davantage ce média du Rhin Supérieur !

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