Le monde entier connaît maintenant Eric Vial…

Les courses à l'hippodrome de Hoerdt sont franchement spectaculaires... Foto: Eurojournalist(e) / CC-BY 2.0

(KL) – Le monde hippique, c’est un monde à part que de nombreux « influenceurs » alsaciens ont découvert hier à l’hippodrome de Hoerdt. Conviés par Betty et Christian Schneider d’Eurospi, les invités pouvaient faire le plein de belles images, suivre une course dans une voiture officielle et échanger avec les collègues qui étaient sur place.

Eric Vial suit la course qui porte son nom… Foto: EJ

Le « Prix Eric Vial » constitue un grand honneur pour ce journaliste connu de France3, que les téléspectateurs n’aiment non seulement en Alsace, mais également au niveau national. Voir un prix PMU dédié à son nom, c’est le rendre immortel dans le monde hippique et l’idée que des parieurs sur les 5 continents aient pu suivre hier cette course à Hoerdt, donne une dimension particulière à ce « Prix Eric Vial ». Si la deuxième course de la journée était le « Prix Kléber », l’intérêt principal se focalisait sur ce « Prix Eric Vial » qu’il avait tenu à partager avec ses amis.

De nombreux journalistes locaux étaient venus, dépourvus de toute connaissance du monde hippique, des paris, des chevaux, des jockeys, mais au bout de trois ou quatre courses, on commence à comprendre un peu comment ça fonctionne. A commencer par la question si les cheveux courent dans le sens d’une aiguille d’une montre ou dans le sens inverse. Après, il y a des courses à obstacles où chevaux et jockey doivent franchir des haies, exercice périlleux. Ou les course à plat, à une vitesse incroyable.

Une belle dynamique… Foto: EJ

Le tout dans l’air frais et sous le soleil de Hoerdt, dans une ambiance bon enfant, une sortie estivale et presque vacancière. Inutile de citer les influenceurs qui avaient honoré l’invitation d’Eric Vial, ils étaient nombreux, y compris le député de la circonscription Vincent Thiébaut.

Malheureusement, notre petite délégation n’a rien gagné aux courses, si ce ne sont pas de belles images et impressions. Sur le retour, le grand photographe Nicolas Rosès fit la remarque judicieuse que pour gagner, il aurait fallu parier. On le saura pour la prochaine fois…