Le stress du braqueur…

Deux fois en une semaine – un brigand qui voulait braquer une station-service, est tombé dans les pommes pendant son braquage. Décidemment, ce jeune homme devra choisir une autre voie professionnelle…

Après deux tentatives ratées, le braquer devrait changer de "métier"... Foto: Foto Fitti / Wikimedia Commons / CC-BY-SA 3.0

(KL) – Cela s’est passé dans la ville de Hamm (Rhénanie du Nord-Westphalie). Un jeune homme de 23 ans avait la mauvaise idée de braquer une station-service en brandissant un couteau pour intimider le caissier. Seulement voilà, visiblement pris par une émotion forte, le jeune homme s’écroule et perd connaissance. La police n’avait plus qu’à venir le chercher et une fois réveillé, le jeune homme a demandé d’être admis dans un service psychiatrique de l’hôpital de la ville. Cela s’était passé le 22 juin, mais l’histoire ne fait que commencer.

Au bout de quelques jours, le jeune homme est relâché, mais visiblement, la leçon de sa tentative de braquage ne lui avait pas vraiment servi. Ainsi, il a décidé de refaire son coup, mais cette fois, dans une autre station-service de la ville.

Mais cet homme n’a pas les « qualités » pour être un « bon » braqueur. Se présentant dans cette autre station-service, il répète le scénario du 22 juin. Il sort un couteau et l’agite devant le caissier qui lui, se met à sortir quelques billets de sa caisse, mais pendant ce temps, le jeune homme – tombe à nouveau dans les pommes. En attendant l’arrivée de la police et d’une ambulance, le caissier a tout simplement ramassé le couteau pour que le jeune homme ne puisse pas blesser les clients ou lui-même.

Maintenant, le braqueur émotif sera placé d’office dans une clinique psychiatrique d’où il ne pourra pas ressortir comme la première fois. Et peut-être profitera-t-il de ce séjour en psychiatrie pour réfléchir à une autre carrière professionnelle. Car le braquage ne semble vraiment pas être son truc…

 

1 Kommentar zu Le stress du braqueur…

  1. Thierry Brand // 4. Juli 2021 um 13:39 // Antworten

    Bonjour,

    Effectivement, ce n’était pas sa vocation. Il est bien connu que ce sont les malfaiteurs les plus bêtes que l’on appréhendé le plus rapidement.
    Tiens, à titre d’exemple, dans l’agglomération rouennaise, un cambrioleur (sic) a perdu son portefeuille avec ses papiers d’identité…dans l’appartement qu’il était en train de dépouiller de ses biens.
    Comme disait Michel Audiard, “les c..s, ça ose tout, etc..)

Hinterlasse einen Kommentar zu Thierry Brand Antworten abbrechen

E-Mail Adresse wird nicht veröffentlicht.

*



Copyright © Eurojournaliste