C’est la faute à Oncle Léopold

Après le repas chez Oncle Léopold, la rédaction était dans un état qui ne permettait pas la rédaction d'autres articles... Foto: Shanghai killer whale / Wikimedia Commons / CC-BY-SA 3.0

(KL) – Noël, nous l’avons fêté. Chez Oncle Léopold. Qui lui, outre sa profession de journaliste, est un grand chef… et après avoir passé deux jours dans la cuisine, il nous a servi un repas de Noël qui a paralysé la production d’autres articles pour hier. Toutes nos excuses, mais on avait tellement mangé (et si bien) que le soir, il n’était plus possible de rédiger encore des articles.

En entrée, le foie gras d’oie ET de canard, produit par le maître lui-même. Nos excuses à PETA et tous ceux qui luttent contre le gavage de ces pauvres volailles, mais franchement, c’était trop bon, sur un petit pain aux châtaignes corse, avec une confiture au cassis venu directement de la Bourgogne. Extra.

Ensuite, l’oie, préparée dans le Römertopf, une tuerie. Accompagnée par des pommes de terre et des carottes qui elles, avaient expérimenté une préparation bluffante. Cuite dans du Sylvaner pendant une heure, ajout de graisse d’oie et mijotées encore pendant un bon bout de temps. Un régal !

Le dessert, il y en avait deux. Un dessert espagnol à base de meringue molle et des oranges, a se rouler dedans. Suivi par une tarte Tatin pomme-poire flambée à l’Armagnac. Oncle Léopold n’a pas donné dans le détail. Le tout couronné par un rhum qui a fait le chemin depuis les Antilles en voilier, certifié et accompagné par un bon café, extraordinaire.

Mais voilà, ce repas sublime a été suivi par une belle balade de digestion, ce qui a rendu tout travail intellectuel impossible. Et c’est pour ça qu’hier, il n’y avait qu’un seul article sur Eurojournalist(e). Si vous souhaitez vous en plaindre, merci d’adresser toute réclamation directement à Oncle Léopold…