Qui est Alexandre Binder ?

Depuis deux semaines, Alexandre Binder renforce notre équipe Eurojournalist(e). On lui a demandé de se présenter aux lecteurs et lectrices !

Toute l'équipe est contente de compter Alexandre Binder parmi nous ! Foto: Elsa Woeffler / EJ / CC-BY 2.0

(Alexandre Binder) – Dès mon plus jeune âge, j’ai toujours été attiré par ce que je ne connaissais pas et le mystère qui entourait certaines choses de mon univers. Plus je tentais de nouvelles expériences, plus je me construisais. Ce goût de l’inconnu, je l’ai reçu de mes parents qui avaient mis un point d’honneur à nous faire voyager, mon frère et moi, avant que nous commencions à parler. Découvrir l’inconnu, c’est aussi découvrir des passions étrangères, je suis donc devenu un amateur de Shōgi et tout le monde sait forcément que le Shōgi est le nom du jeu d’échec japonais…

Puis, durant toute ma scolarité, j’étais plus intéressé par ce que je voulais apporter au monde plutôt que par ce que les cours avaient à m’apporter. C’est pourquoi, deux jours après la fin de mon bac, je suis allé à l’école des fusiliers marins commandos à Lorient pour suivre une période d’entrainement de 11 jours et devenir fusilier marin réserviste. Ce statut m’a permis de suivre mes études à la faculté de psychologie de l’Université de Strasbourg et de passer mes étés sur une base militaire de la Marine nationale.

Au bout de deux ans en psychologie, je me suis rendu compte que même si les cours était intéressants, je ne voulais pas en faire mon métier. En janvier 2020, j’ai décidé d’arrêter la fac et d’intégrer l’ISEG de Strasbourg pour la rentrée de septembre. Après avoir vécu deux ans en colocation à Strasbourg, je n’allais pas retourner chez mes parents pendant 8 mois, j’avais prévu de partir le 16 mars 2020 à Londres et de trouver du travail, n’importe quel travail en deux semaines. Malheureusement, la COVID a frappé et j’ai été obligé de rester chez mes parents pendant 8 mois.

Finalement, j’ai rejoint l’ISEG en septembre 2020 et après un an et demi à l’ISEG, j’ai décidé d’aller voir Eurojournalist(e) pour parler d’un sujet qui me passionne, la Transnistrie. La Transnistrie, ce bout de terre coincé entre l’Ukraine et la Moldavie, est plus petit que le Luxembourg, mais beaucoup plus mystérieux. A force de recherche et d’écriture, j’ai pris l’habitude de venir chez Eurojournalist(e) et c’est de cette façon, que j’en suis venu à faire mon stage de deuxième année dans ce journal.

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