« En ce moment précis, quelqu’un est violé dans un tunnel »

Plusieurs otages libérés expliquent devant la Knesset, le parlement israélien, le martyr que vivent les otages détenus par le Hamas. Incroyable qu'il y ait des « femmes de gauche » qui soutiennent le Hamas.

Il ne faut pas oublier qui a attaqué qui le 7 octobre dernier... Foto: Spokesperson unit of ZAKA photographer / Wikimedia Commons / CC-BY-SA 4.0

(KL) – Ce sont surtout les filles parmi les otages du Hamas qui, selon les dépositions de plusieurs otages libérés devant le parlement israélien, vivent un martyr quotidien et indicible. Une femme qui heureusement a été libérée, a dit devant les députés : « Les terroristes traitent les filles détenues comme des poupées avec lesquelles ils peuvent faire ce que bon leur semble ». Pour poursuivre : « Je n’arrive plus à respirer, je n’arrive pas à gérer, c’est trop dur. Cela fait bientôt 4 mois et elles s’y trouvent toujours ». Il serait peut-être temps que le Hamas soit considéré comme ce qu’il est – non pas un « mouvement de la libération », mais une bande de terroristes qui torturent, violent et tuent.

Même si le monde semble s’être accordé à dire que les terroristes du Hamas sont les victimes et Israël l’agresseur, les récits des otages libérés glacent le sang, surtout quand on pense à ceux qui se trouvent toujours entre les mains de ces barbares. Comment est-ce possible que des femmes occidentales applaudissent les actions du Hamas, faisant fi de la violence sexuelle qui paraît dans de nombreux récits des otages qui ont eu la chance d’être revenus vivants.

Ces récits sont parfaitement crédibles et cadrent avec ce qu’il s’est passé le 7 octobre dernier, lorsque les terroristes violaient déjà les femmes dans les Kibboutz, souvent avant de les abattre froidement. Et ces actions trouvent l’approbation de femmes occidentales qui autrement, vont manifester contre la violence faite aux femmes ?!

Israël a proposé au Hamas un cessez-le-feu de deux mois en échange de la libération des otages encore en vie et des dépouilles de ceux qu’ils ont déjà assassinés. Evidemment, le Hamas refuse, car il n’en a cure des civils palestiniens qui aujourd’hui, soutiennent majoritairement les terroristes, comme l’a démontré un sondage effectué par un institut palestinien en coopération avec la Fondation Konrad Adenauer. Plus il y aura des victimes civiles, plus cela arrange les sinistres plans du Hamas.

Et de nombreuses femmes qui se disent « de gauche » apprécient donc la violence sexuelle comme moyen de torture ? La fin justifie les moyens ? C’est le monde à l’envers et ce n’est pas en invitant Israël de baisser les bras devant ces terroristes barbares que l’on pourra mettre un terme à ce terrible conflit. Il serait plus que temps que le Hamas soit traité par la communauté internationale comme étant l’agresseur, que les terroristes soient traînés devant la Cour Internationale pour les prises d’otages et les viols systématiques et qu’on arrête avec ce deux-poids-deux-mesures.

Les otages, même ceux qui reviendront encore vivants, sont traumatisés à vie et ne pourront plus jamais vivre une vie « normale ». Et dans de telles circonstances, on s’étonne que l’armée israélienne continue sa chasse aux terroristes, dans l’espoir de retrouver encore des otages ? Sérieusement ?

Le fait qu’Israël doit se débarrasser de Benjamin Nethanyahou n’affecte en rien la responsabilité du Hamas pour ces crimes de guerre. « Plusieurs des filles systématiquement violées, n’ont plus leurs règles », a expliqué une autre femme qui a été libérée. On n’ose imaginer la situation de ces filles, dont certaines pourraient être enceintes de ces terroristes. Oui, il est temps que les armes se taisent. Pour cela, le Hamas doit immédiatement libérer tous les otages et déposer les armes. Et tant qu’ils ne le feront pas, ils restent les seuls responsables de ce qu’il se passe à Gaza.

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